dimanche 5 décembre 2010

Piran, face à Venise, le cadre idéal pour mon second roman

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Piran est le cadre que j’ai retenu pour commencer mon second roman, « Le retour de Constantin ».

Personnage principal, Constantin est le seul survivant d’une puissante explosion survenue en laboratoire. Il sort de sept mois d’hospitalisation et arrive en convalescence à Piran.
Confortablement installé dans une villa située sur les hauteurs de Piran, Constantin n’ose, ni sortir, ni se regarder dans un miroir. S’il a réussi à surmonter le traumatisme physique, celui causé par la découverte de son nouveau visage n’est toujours pas résolu. Une béquille totalement inattendue, aussi bancale que lui, va l’aider à surmonter ce second traumatisme.

Rétabli, Constantin décide de rentrer en France, mais une nouvelle angoisse le paralyse. Si les gens qu’il a fini par rencontrer, ici, apprécient sa tête, qu’en sera-t-il de ceux, amis ou collaborateurs, habitués à celle d’avant ?...


Superbe petit village de Slovénie (voir les photos sur flickr pour avoir un aperçu), Piran est aussi l’un des rares ports du pays, la Slovénie ne possédant qu’une trentaine de kilomètres de littoral sur l’Adriatique entre Italie et Croatie.

J’avais découvert ce lieu à l’occasion d’un bref séjour en 2007. Cette presqu’île minuscule s’avançant dans la mer, face à Venise, m’avait séduit. Outre l’aspect pittoresque du village et le panorama superbe depuis la colline, j’avais été frappé par la lumière changeante qui donne parfois à l’Adriatique une stupéfiante coloration ardoise, alors qu’à d’autres moments ses vagues prennent des reflets de jade en venant frapper la digue.

Dans mes prochains billets je vous raconterai mes ballades, dans ce vieux village si pittoresque,  et sur la colline de Piran offrant un superbe panorama sur l'Adriatique.


Photo en tête : Creative commons / Picasa




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dimanche 3 octobre 2010

Sidobre et Plaça Reial

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Qu’est-ce qui peut bien rapprocher ces deux sites ?

Le Sidobre, d’une part, plateau naturel où le minéral, brut, primitif, dispute l’espace au végétal, où l’homme extrait de ses carrières le granit qui habille nos tombes. 
La plaça Reial, d’autre part, ensemble architectural raffiné devenu l’un des emblèmes de Barcelone. Ici, une population hétérogène vient dans les bars et brasseries, sous les arcades, écouter une musique de qualité ou déguster d’excellentes spécialités catalanes.


Ce qui me fait rapprocher ces lieux dans mon roman « Turbulences au Sidobre » c’est cette séduction, cette fascination que provoquent de tels sites sur les visiteurs. S’il est intéressant de constater combien certains lieux du Sidobre invitent au calme, à la sérénité,  il est encore plus surprenant d’observer l’impact de la Plaça Reial sur certains groupes déboulant bruyamment des Ramblas. Les rires cessent soudain, les regards inspectent le lieu avec étonnement, on s’avance un peu, déconcertés par cet oasis en pleine ville. Mais plutôt que de se laisser imprégner par le lieu, les appareils photo crépitent, inondant la place d’éclairs de flashs avant que le groupe regagne le tumulte rassurant des Ramblas.





Cette place remarquable, la seule de Barcelone entourée d’arcades, a été construite par l’architecte Francesc Daniel Molina sur l’emplacement d’un ancien couvent de Capucins. Elle a été achevée en 1860. La superbe fontaine « Las  Tres Gracias » qui occupe le centre, les deux lampadaires de Gaudi installés à proximité, ces étonnants palmiers disséminés sur l’esplanade donne à cette place un cachet bien particulier.
Par sa position en centre-ville, la Plaça Reial est le point de ralliement idéal, aussi bien pour les barcelonais que pour les visiteurs.



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