Rencontrée à l’occasion
d’une lecture d’extraits de son livre au château de Chambord, Maylis de Keranval
indiquait avoir été invitée à prendre le Transsibérien en compagnie d’un groupe
d’écrivain français. Chacun devait produire ensuite un texte destiné à la radio
(France Culture, je crois) Le texte devait donc être relativement court pour
correspondre à une plage d’environ 20 minutes d’antenne.
On
monte dans le mythique transsibérien avec fébrilité ; on est saisi d’excitation
à l’idée de traverser les grands...
Il y a 8 ans